Quelques pistes sur le coronavirus

Il y a tellement de choses qui se disent sur le coronavirus ou plus exactement covid-19. J’ai essayé de rassembler les informations importes ou du moins celles que j’estime pertinentes.

Sur le site web de la confédération, il y a déjà des informations de qualité comme les risques, symptômes, mesure de protection et surtout comment faire au cas vous avez un doute.

Corona check

Cette page contient une questionnaire pour faire une évaluation:
https://coronavirus.unisante.ch/

Infoline coronavirus

En cas de doute, vous pouvez appeler votre médecin et aussi cette ligne consacrée uniquement à la maladie.

+41 58 463 00 00

Un canal d’informations

Sur l’application Telegram, une personne en Suisse suit et rassemble les informations piochées dans la presse internationale et les réseaux sociaux.

https://t.me/coronalive

Si on doit vraiment sortir

Si on doit vraiment sortir. Il est vraiment recommandé de se protéger les voies respiratoires. Dans cet article, on parle de masque, de comment en faire un et pourquoi il est impératif d’en porter un. L’exemple du Japon est flagrant. Là-bas, porter un masque est courant !

https://blogs.mediapart.fr/pierre-jacques-raybaud/blog/020320/coronavirus-recommandations-et-inhalation

 

 

 

 

Carrefour

Je me sens lourd, autant physiquement que moralement. Le moral dans les chaussettes pour finalement pas grand chose, mais quand même il s’agit de ma vie, de ma personne et il m’est légitime d’en extraire quelques mots, même si à quelque part il existe sur terre de multiples expériences qui mettraient celui-ci au dernier rang de la souffrance ou quelques autres catégories.

Qu’importe.

Je remarque depuis quelques années, que la profondeur de la méditation ou de celui de quelques postures de yoga, saupoudrés de quelques lectures profondes, ne suffisent pas à me rendre heureux. Au contraire, il a suffit de rencontrer une seule personne pour qu’elle balaye tout ce joli monde et me fasse me sentir misérable. Je ne crois pas qu’il se rende compte à quel point, il l’est lui-même.

Quoiqu’il en soit, c’est un jour important puisque au-delà de quelques ronchonneries, quelque chose de nouveau m’apparaît: la proximité. Si je devais résumer en quelques mots, il n’y a rien que je puisse en dehors de ma proximité. Tout ce qui me rend heureuse se trouve juste là à quelques mètres. Que ce soit personnel ou professionnel, tout se trouve dans un rayon direct. Si j’en étais suffisamment conscient, je pourrais même voir que dans ce rayon, le monde y est contenu. Oui, parce que nous possédons chacun un rayon dans lequel s’enchevêtre d’autre rayon, d’autres personnes.

Il suffirait parfois approfondir les relations existantes, les nourrir, les cultiver.

Au-delà, est-ce nécessaire ?

Une ligne verte

Le lieu qui héberge l’association de La Bottolière regorge de traces historiques ou du moins particulières. Ce matin, en traversant le couloir du rez-de-chaussée, j’ai remarqué cette ligne verte sur le premier pilier. En dessous. l’inscription est confuse. Est-il écrit 451 ou 4ST ? Quel que soit les réponses, il n’en demeure pas moins énigmatique.

Je ne sais pas vous, mais j’adore de temps en temps, lancer un grain de sable dans la belle mécanique des habitudes. A chaque fois, c’est une nouvelle découverte. Parfois absolument inintéressante, parfois amusante et d’autres … Qu’importe, j’aime ce genre d’exercice, il me permet de me sentir libre.

Il a bouleversé mon regard sur les requins

Aussi longtemps que je m’en souviens, l’idée même du requin me faisait peur. Je fais partie de cette génération qui a vu ces films mettant en scène le requin comme un tueur d’homme. Enfant, j’ai passé des années à avoir peur de l’eau, peu de voir une de ces créatures survenir de nul part. Quelle vision limitante n’est-ce pas ?

Il est la personne qui a changé ma vision de cet incroyable animal. Je ne me souviens pas du nombre de personne à qui j’ai montré ou recommandé ce film. J’espère de tout cœur que cela leur a permis d’être guéri ou du moins apaisé leur cauchemar. Une fois qu’on a vu le film Les Seigneurs de la Mer (Sharwater), on ne voit plus les choses de la même façon.

Il est aussi celui qui m’a permis de comprendre le lien entre l’air que nous respirons et la santé des océans.

Il était biologiste et réalisateur.

Ce matin, en consultant quelques nouvelles, je me suis effondré, j’ai fondu en larmes. Rob Stewart n’est plus. Il avait tout juste 37 ans.

Son dernier film, en tournage, a été repris par l’équipe de Paul Watson et sortira cet automne.

Mode d’emploi : comment sauver ces poumons dans les gares suisses

Il y a quelques temps de cela, j’ai décidé de renoncer à la cigarette. D’une part pour ma santé et de l’autre car… j’ai aimé la cigarette les premières années et quand j’ai souhaité y mettre un terme, je n’y arrivais pas. Il aura fallu 20 ans pour je trouve le moyen de m’en sortir (psy + séjour à l’hôpital à cause des angoisses liées à l’addiction).

Aujourd’hui, je suis non-fumeur. Je n’en ai plus envie.

Quand on devient non-fumeur, on découvre que la fameuse fumée qu’on s’évertue à souffler vers le haut, fait comme bon lui semble :

  • la fumée ne monte pas au ciel, elle refroidit si vite qu’elle descend vite et stagne autour de soi (merci de ne plus fumer à coté d’un enfant)
  • la fumée d’une personne qui marche crée des sillons de fumée d’environ 50 mètres avant de disparaître
  • la fumée dans les tunnels reste dans le tunnel
  • la fumée d’une fumeur qui attend sur place l’enveloppe d’un diamètre de 5 mètre

Hors dans les gares, c’est le paradis. Il y a les 4 types de fumée. Et comme la gare c’est un endroit où on attend, fumer est nécessaire pour un fumeur.

C’est comme cela que j’ai trouvé à quoi servent les abris fermés sur les quais.

Ce sont des espaces non-fumeurs.

Alors si comme moi, vous êtes sensible ou que vous avez les poumons fragiles (enfants, vieilles personnes, personnes malades), vous savez quoi faire !

 

 

Made with Love @ 2017 Samuel Monnard